dimanche 23 août 2009

LE BLOG DE L'ASEB

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Le 19 Octobre 2009
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PROJET DE CENTRE D'ENFOUISSEMENT CAYRES - SENEUJOLS
Pour en savoir plus :

Un article sur ZOOM43
Lien vers zoom43 :
http://www.zoom43.fr
Lien vers l'article :
http://www.zoom43.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=35264&strArtTypId=1
La Haute-Loire doit s'équiper d'un nouveau centre d'enfouissement de déchets et plusieurs zones sont à l'étude. Le dossier le plus avancé concerne les communes de Cayres et Seneujols en bordure de la Route Départementale 33, de Montagnac à Cayres. Face à cette menace environnementale, les maires du territoire du Pays de Cayres-Pradelles se sont unanimement opposés au projet porté par la Société 2N Environnement.
Ce projet est envisagé pour la fin de l'année 2011, voire le début 2012. La décision sera validée par arrêt préfectoral et déjà les maires du territoire du Pays de Cayres-Pradelles sont pessimistes. La Société 2N Environnement est chargée d'étudier le projet et sa viabilité au niveau environnemental. Pour M. Barbaud, Co-Gérant de la société, il s'agit d'un "outil nécessaire dans le département. C'est un vrai problème, reconnu par les pouvoirs publics mais on ne sait pas encore où il sera implanté". Pour l'instant, tous les critères ne sont pas encore étudiés, il est donc impossible de savoir si le projet sera concrétisé.
Une crainte sur le long terme
Pour les maires du territoire du Pays de Cayres-Pradelles, l'issue de cette étude ne fait aucun doute. "Ils vont faire des forages pour voir la compatibilité du sol et vont nous dire que c'est possible ; les études vont démontrer que c'est possible aujourd'hui, mais dans 50 ans ? " précise Serge Boyer, maire de Seneujols. "Peut être qu'il n' y a aucun risque aujourd'hui, mais nous ne disposons pas du recul nécessaire pour évaluer l'impact dans le temps ; notre crainte se situe sur le long terme". Il est reconnu que la chaine du Devès constitue le réservoir d'eau potable du bassin du Puy-en-Velay (50 000 personnes). Cette implantation risque de contaminer cette réserve d'eau à plus ou moins longue échéance.
Le principe de précaution
La durée, la quantité et la superficie seront décicidées par arrêté préfectoral. Même s'il faut bien reconnaître que ce projet peut être générateur d'emplois, le principe de précaution doit aussi être pris en compte. A ce jour, aucun site semblable n'est exploité depuis suffisamment de temps pour apporter des garanties. C'est pourquoi les élus responsables du développement de leur territoire, du respect de l'environnement, de la qualité de vie et de la santé de leur population refusent d'hypothéquer de cette façon une terre qu'ils vont laisser aux générations futures.
"Not in my backyard"
Serge Boyer reconnait qu'il est bien nécessaire d'enfouir ces déchets, mais refuse que cela se fasse sur son territoire. On appelle ça le syndrome NIMBY ("Not in my backyard"), comprenez "pas dans mon jardin". Selon cette interprétation, tout équipement collectif créant des nuisances pour les riverains, engendrera la réaction naturelle de ces derniers qui sera de s'y opposer et d'exiger qu'il se fasse ailleurs. Dans le département, l'Est et l'Ouest sont traités, mais pas la bande centrale, qui est la zone la plus dense "l'agglomération du Puy-en-Velay est la plus grosse génératrice de déchets, c'est donc à elle de trouver une solution sur son territoire" conclut Serge Boyer.
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Une association amie : le NPCB (Nature et Patrimoine Centre Bretagne)
Leur blog :
http://www.npcb.info/

Dix-huit mois après l'annonce de l'acquisition par Guy Dauphin Environnement (GDE) de 153hectares de terres agricoles, à Plouray, pour la réalisation d'un centre d'enfouissement de déchets industriels, la partie d'échecs se poursuit avec l'association Nature et patrimoine en Centre-Bretagne (NPCB), qui lutte contre ce projet. Chacun avance ses pions pour parvenir à ses fins. Après avoir acquis ces terrains en amont du bassin versant de l' Ellé et effectué des forages de sondage, GDE a déposé, le 28juillet, un permis de construire en mairie de Plouray, qui en a fait part à la Direction départementale de l'équipement et de l'agriculture (DDEA). Problème: celle-ci signale que ce projet nécessite un permis d'aménagement, et non de construire. Aussi, le maire de Plouray, Michel Morvant, envisage de promulguer un arrêté de rejet du permis.
Installation classée pour l'environnement
Loin de baisser les armes, GDE a effectué, le 30 juillet, une demande d'autorisation d'ouverture d'une installation classée pour l'environnement. Ce dossier a été transmis à la Direction régionale de l'industrie de la recherche et de l'environnement (Drire), dont les inspecteurs devront formuler un avis et le transmettre au préfet. Celui-ci prendra alors la décision d'ouvrir ou non une enquête publique.
L'association NPCB multiplie les actions
Fort de ses 360 adhérents, NPCB multiplie les actions pour faire connaître et lutter contre ce projet: «Nous informons la population des réglementations par un gros travail de documentation». Pour cela, l'association dispose d'un journal, tiré à 1.500 exemplaires. Et 5.000 affiches et autocollants sont prêtes à être distribués pour dire «NON à la mégadécharge!». NPCB propose également de nombreuses animations. Elle participe, le 6 septembre, au pardon de la chapelle Saint-Guénin, située en limite de la zone d'exploitation. Et le 10octobre, elle organise un fest-noz à la salle polyvalente de Guémené-sur-Scorff. Sans oublier la nécessité de «prendre contact avec les administrations», précise aussi l'association. Un rendez-vous est d'ores et déjà prévu avec Gérard Mevel, vice-président du conseil régional, délégué à l'eau et l'environnement, pour évoquer la problématique du centre d'enfouissement.
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mardi, août 25 2009

CYNORHODON est une toute jeune association créée en janvier 2008. Elle est née de la volonté de quelques citoyens du Puy de Dôme de soutenir les démarches en faveur du développement durable sur notre département. Notre objectif est, avant tout, de mettre en avant les actions concrètes entreprises dans un esprit de développement durable. Nous pensons qu’en faisant connaître ces projets nous susciterons curiosités et envies pour donner une impulsion dans le département du Puy de Dôme. Pour répondre à cet objectif de diffusion de l’information, nous utiliserons plusieurs outils......
http://www.cynorhodon63.org/spip.php?article137
DOSSIER DECHETS
http://www.cynorhodon63.org/dechet/rapportdechets.html
Les réponses à CYNORHODON
réponses du SBA
réponses de Clermont Communauté
réponses de Ardes Communauté
réponses du SICTOM Issoire-Brioude
réponses du SICTOM des Combrailles
réponses du SICTOM Pontgibaud-Pontaumur
réponses du SMCTOM Haute-Dordogne

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Le savez-vous ?
GRATTE-CUL n. m. (pl. Gratte-culs). XVIe siècle. Composé de gratte, forme conjuguée de gratter, et de cul. Nom vulgaire du cynorhodon, fruit de l'églantier.
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La rumeur court depuis quelques jours. Des sondages ont été effectués en ce début de semaine. Deux propriétaires terriens ont été contactés. Un projet de création d'un centre d'enfouissement des déchets est à l'étude, à cheval sur les communes de Cayres et de Séneujols.
« Dans ce type de dossier, la population et les élus sont complètement mis à l'écart. Il y a environ 15 jours que nous avons entendu parler de ce projet d'enfouissement des déchets, mais il est très difficile d'obtenir des informations précises » s'indigne le maire de Cayres, Marc Mouret.
A demi-mot, on évoque donc la création d'un site étalé sur 25 hectares, dont la vocation serait d'enfouir des déchets ménagers. Un grand groupe spécialisé aurait déjà pris contact avec des habitants et propriétaires de terrains sur les communes voisines de Cayres et de Séneujols, au lieu dit Le Ronzet.
« Nous sommes particulièrement concernés par les nuisances, car l'entrée du site pourrait se faire par la D 33, juste en dessous du village » poursuit M. Mouret. Une réunion du conseil municipal était organisée mercredi soir pour évoquer le projet.
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