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UN "NON" UNANIME AU CENTRE DE TRI
Journal LA MONTAGNE du 28 juillet 2009
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REPONSE DU PREFET
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Le fait de la semaine
Centre de tri de Saint-Beauzire : le non de la CCB
La Communauté de communes du Brivadois s'est réunie lundi soir salle polyvalente de Paulhac. Vingt questions d'ordre technique étaient à l'ordre du jour. Deux points supplémentaires ont été ajoutés dont celui concernant le rapport du groupe de travail chargé d'étudier le projet du centre de tri et d'enfouissement de Saint-Beauzire. Des conclusions attendues et qui ont expliqué la présence dans le public d'opposants au projet regroupés au sein de l' Association de Sauvegarde de l' Environnement en Brivadois (ASEB) présidée par Louis Lagrange.
« Un sujet important , un sujet difficile pour ne pas dire très difficile qui pose de nombreuses questions sur notre rôle, à nous, élus, d'avoir des réflexions, de ne pas s'emballer, d'avoir une connaissance approfondie, d'avoir des positions de sagesse, de prendre son temps pour avoir l'intégralité dans les affaires » a argumenté le président Jean-Jacques Faucher sur les raisons de la création du groupe de travail chargé d'étudier le projet de Centre de tri et d'enfouissement de Saint-Beauzire. Roland Charreyron a rappelé la constitution le 26 mai dernier de la commission composée d'élus communautaires et de la commune de Brioude. Cette commission a rencontré les différents acteurs du projet : l'entreprise Pizzorno, l' ASEB, Michel Joubert vice-président du Conseil Général, les conseillers généraux Jean-Noël Lhéritier et Philippe Vignancour, Gabriel Gay et Didier Vigouroux respectivement président et directeur du Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères (SICTOM) Issoire-Brioude.
Aussi « la commission rappelle que la collecte et le traitement des déchets sont de la responsabilité de la puissance publique (…) que le projet industriel de grande ampleur tel que celui présenté sur le site de la commune de Saint-Beauzire ne répond pas aux besoins de traitement des ordures ménagères de la CCB, suscite de légitimes inquiétudes de la part de la population et des élus sur l'impact écologique du projet, ne correspond pas aux exigences du Grenelle de l' Environnement ».
Selon Jean-Noël Lhéritier « le paysage, le patrimoine bâti , le centre Léo Lagrange doivent être protégés ». Outres les questions environnementales, « odeur, pollution sonore, trafic routier », le projet de centre de tri de Saint-Beauzire reste « un projet inmaîtrisable » car à terme et potentiellement « ce sont 50 à 60 hectares, une vingtaine de fois en superficie la décharge de La Taupe ». D'autres aspects auraient créés des « interfaces avec l'agriculture et l'économie, l'impact du Brivadois dans son ensemble. »
Michel Bergougnoux qui partage l'avis de la commission, a regretté que les conseillers régionaux n'aient pas été entendus par le groupe de travail, rappelant que lui-même et Pierre Pommarel siègent à la commission environnement du Conseil régional. De plus Michel Bergougnoux a insisté sur le fait « que la question (des déchets, NDLR) doit rester de la responsabilité des collectivité publiques ».
Philippe Vignancour a préciser que « ce n'est pas le conseil général de la Haute-Loire qui a fait venir Pizzorno ! » Le vice-président reste aussi inquiet concernant l'incinérateur de Clermont-Ferrand : « si l'usine de l'incinérateur ne se fait pas ça sera chacun traite ses ordures! ».
Marie-Paule Stoque a tenu à remercier l'ensemble des élus communautaires : « on avait besoin avec Raymond (Berthui, maire de Saint-Beauzire, NDLR) d'être épaulés. »
Jean-Jacques Faucher a conclu : « derrière ce texte, il y a le poids de la CCB mais il y a le poids juridique, ce n'était pas évident d'arriver à un texte. »
Le conseil communautaire s'est prononcé à l'unanimité contre le projet de Saint-Beauzire et a demandé que cette position soit prise en compte lors de la révision du Plan Départemental d'Elimination des Déchets Ménagers et Assimilés de Haute-Loire. Les applaudissements des opposants au projet ont accueilli le vote des élus communautaires.
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UN "NON" UNANIME AU CENTRE DE TRI
Journal LA MONTAGNE du 28 juillet 2009
Lundi soir, à Paulhac, les élus de la Communauté de communes du Brivadois ont unanimement pris position contre le projet de centre de tri et d'enfouissement des déchets de Saint-Beauzire.
Rarement une réunion du Conseil communautaire du Brivadois aura été suivie avec autant d'attention et d'intérêt
Lundi soir, outre les élus des quinze communes membres, une vingtaine de personnes avaient en effet pris place dans la salle des fêtes de Paulhac. Une affluence plutôt inhabituelle Il faut dire que l'un des points inscrits à un ordre du jour par ailleurs sans surprises avait de quoi susciter tout l'intérêt du public, puisque la Communauté de communes devait pour la première fois se prononcer officiellement sur le projet d'implantation d'un centre de tri et d'enfouissement des déchets à « Vazeillette », sur le territoire de la commune voisine de Saint-Beauzire.
Créé en mai dernier par le bureau de la Communauté de communes du Brivadois (CCB), un groupe de travail, composé de onze élus de la commune de Brioude et de la CCB (1), a été chargé, ces dernières semaines, de rencontrer les différents acteurs du projet de Saint-Beauzire (2) et d'établir des conclusions, sur lesquelles les élus communautaires étaient donc amenés à se prononcer, lundi soir. Rapporteur de ce groupe de travail, Roland Chareyron n'aura mis que quelques minutes à présenter le bref rapport des élus. Bref, mais sans aucune ambiguïté !
« Depuis 2000, la Communauté de communes du Brivadois a délégué sa compétence en matière de collecte, de traitement et d'élimination des ordures ménagères au SICTOM Issoire-Brioude, qui a lui-même délégué le traitement et l'élimination au VALTOM, a-t-il d'abord rappelé. Par ailleurs, lors de sa réunion du 8 juillet 2009, la commission consultative chargée d'élaborer le plan départemental d'élimination des déchets ménagers et assimilés (PDEDMA) du Puy-de-Dôme a décidé que le périmètre d'étude de ce plan serait bien celui du VALTOM et engloberait donc 78 communes de Haute-Loire, dont les quinze de la Communauté de communes ». Et le maire de Vieille-Brioude d'indiquer que, « dans l'état actuel, le projet industriel de grande ampleur tel que présenté à Saint-Beauzire ne répond pas aux besoins de traitement des ordures ménagères de la CCB, suscite des inquiétudes légitimes de la part de la population et des élus sur l'impact écologique et ne correspond pas aux exigences du Grenelle de l'environnement ». Conséquence logique : « la commission propose au Conseil communautaire de prendre position contre le projet de Saint-Beauzire et de demander que cette position soit prise en compte lors de la révision du PDEDMA de Haute-Loire ».
En écho, Jean-Noël Lhéritier a indiqué que « ce projet, s'il se réalisait, pourrait avoir, à terme, une superficie vingt fois supérieure à l'ancienne décharge de La Taupe ». Et Michel Bergougnoux, conseiller régional, de souligner que « ce type de dossier ne doit pas être abandonné à des structures privées, mais rester de la responsabilité de la puissance publique ». C'est finalement sous les applaudissements de l'assistance et avec les remerciements des deux élus représentant la commune de Saint-Beauzire au Conseil que la Communauté de communes a unanimement suivi les recommandations du groupe de travail et rejeté le projet de centre de traitement des déchets
(1) Roland Chareyron, Maurice Roche, Marie-Christine Degui, Alain Boudon, Régis Fargier, Alain Borel, Brigitte Souchon, Michel Grimault, Maurice Pagès, Alexis Juillard et Guy Pegon.
(2) Les représentants du groupe Pizzorno, porteur du projet ; l'association de sauvegarde de l'environnement en Brivadois (ASEB) ; Michel Joubert, vice-président du Conseil général ; Jean-Noël Lhéritier et Philippe Vignancour, conseillers généraux de Brioude Nord et Brioude Sud ; Gabriel Gay et Didier Vigouroux, président et directeur du SICTOM Issoire-Brioude.
Christian Lefèvre christian.lefevre@centrefrance.com
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REPONSE DU PREFET
Téléchargeable:
Transcrite
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( cliquez ci-dessus )
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Les décharges implantées dans l’Union européenne qui ne répondent pas aux normes vont devoir fermer
COLLOQUE A YTRAC
C'est
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Saint-Flour - Les Cramades -
Le nouveau centre d'enfouissement technique peut stocker 400 000 tonnes de déchets ménagers.
En service pour une durée de 20 ans.
Le nouveau quai de transfert des déchets inauguré à Neussargues.
Le nouveau centre d'enfouissement technique peut stocker 400 000 tonnes de déchets ménagers.
En service pour une durée de 20 ans.
Le nouveau quai de transfert des déchets inauguré à Neussargues.
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Visitez le site Yonne Lautre.
Un blog immensément fourni.
ou
ou ailleurs...
Un bonjour à Pascal Paquin en passant.
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Culhat et son histoire.
Allez sur le blog
Lire l'article :
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Des nouveaux panneaux pour remplacer les bâches noires,
nettement plus agréables a regarder
mis en place par les adhérents de St Laurent Chabreuges et St Just.
Les photos
(cliquez)
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de passage à BRIOUDE.
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Déchets cherchent porte de sortie
Article paru dans le journal LA MONTAGNE du Vendredi 29 mai 2009
C'est
LA (cliquez et vous saurez...)
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CYNORHODON
est une toute jeune association du Puy de Dôme
créée en janvier 2008.
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A Culhat (Puy-de-Dôme) ,
ils ont tous dit NON .
Lucidité et courage . Bravo.
Lire l'article : C'est
ICI
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Mai 2009 - De nouvelles infos
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LA PRESSE : c'est LA
LES PHOTOS : c'est
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Pétition papier
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Pétition papier
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c'est reparti !
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ILS ONT GAGNE !
pour leur succès contre la création
des deux mégas-décharges
de Bathelémont-les-Bauzémont et d'Herbéviller.
En savoir plus, cliquez ICI
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ILS ONT POLLUE !
Mail reçu le 22/03/2009
« A 19 heures l'information est tombée !
Les lixiviats de la décharge de la Glacière (Alpes Maritimes), du même type que celles de Bagnols en Foret et du Cannet des Maures, mais exploitée par le groupe Véolia, est à l'origine d'une pollution (triple que la dose limite permise) par l'arsenic. Ceci, qui serait connu par l'administration depuis juillet 2008, et dans le secteur du pompage de l'eau de ville pour Villeneuve Loubet et Cagnes, aurait été caché, de manière criminelle estiment les associations pour la défense de l'environnement.
Les lixiviats de la décharge de la Glacière (Alpes Maritimes), du même type que celles de Bagnols en Foret et du Cannet des Maures, mais exploitée par le groupe Véolia, est à l'origine d'une pollution (triple que la dose limite permise) par l'arsenic. Ceci, qui serait connu par l'administration depuis juillet 2008, et dans le secteur du pompage de l'eau de ville pour Villeneuve Loubet et Cagnes, aurait été caché, de manière criminelle estiment les associations pour la défense de l'environnement.
William Dumont / Association Bagnolaise d'Information »
Pour en savoir plus, cliquez ICI
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